Kiai-tseu-yuan Houa Tchouan [Jieziyuan huazhuan]
Encyclopédie de la peinture chinoise
Les Enseignements de la Peinture du Jardin grand comme un Grain de Moutarde
Traduction et commentaires : Raphaël PETRUCCI
Henri Laurens, Paris, 1918.
- "Le Kiai tseu yuan houa tchouan ou 'Les Enseignements de la Peinture du Jardin grand comme un grain de moutarde' constitue une véritable Encyclopédie de la Peinture chinoise. Ce traité fondamental rassemble les plus vieilles lois de l’esthétique extrême-orientale ; il recueille les instructions et les exemples des plus grands maîtres sans donner la préférence à une école particulière ni à une époque déterminée. L’abondance des renseignements qu’il apporte, philosophiques, historiques ou techniques en font un instrument de travail de premier ordre."
- "On se tromperait singulièrement si l’on croyait n’y voir que le reflet de ce qui était la théorie de la peinture chinoise à la fin de l’époque des Ming ou au début de l’époque des Ts’ing. Ce traité a été composé par des érudits et des artistes dont la passion dominante était l’admiration de l’antiquité.... Les auteurs du Kiai tseu yuan houa tchouan ne sont intervenus que pour classer, résumer, commenter ; ils n’ont point édifié une œuvre où ils auraient affirmé leur propre personnalité, ils ont, au contraire élevé à la gloire de l’esthétique chinoise de la peinture un édifice où toutes les époques et où les plus grands maîtres de l’histoire sont venus apporter leurs matériaux. Dès lors ils ont créé ce livre dont l’étude permet de pénétrer dans l’intimité la plus secrète de l’art extrême-oriental, qu’il se manifeste en Chine ou au Japon."
Table des matières
Index des noms de peintres et des personnages historiques ou légendaires cités
Extraits : Les six principes - Les pins - Les sommets - Les Jen-wou - Les
paysages
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Sie Ho de la dynastie des Ts’i méridionaux dit :
La Révolution de l’Esprit engendre le mouvement [de la Vie].
Il dit : La loi des os au moyen du pinceau.
Il dit : Conformément aux choses [ou aux êtres], dessiner les formes.
Il dit : Selon la similitude des objets, appliquer la couleur.
Il dit : Distribuer les lignes et leur attribuer leur place hiérarchique.
Il dit : Propager les formes en les faisant passer dans le dessin.
A partir de la Loi des Os, les cinq [derniers] Principes, on peut les étudier. Mais la « Révolution de l’Esprit » réside dans un savoir que l’on apporte en naissant.
Commentaire. Les Six Principes de Sie Ho ont été formulés par lui dans un petit livre, le Kou houa p’in lou, qui, écrit au Ve
siècle, a subsisté, tout entier, jusqu’à nos jours. Cet auteur fut, dans l’état actuel de nos connaissances, le premier qui tenta de classer l’œuvre des peintres d’une manière objective,
c’est-à-dire en les jugeant non d’un point de vue personnel, mais en se rapportant à des règles fixes dont les Six Principes qu’il a formulés sont l’expression...
...Lou-tch’ai-che nous dit, dans la note qu’il a ajoutée à leur énumération, que l’on peut étudier et apprendre les matières énoncées par les cinq derniers, mais que, pour le premier, il dépend «
d’un savoir que l’on apporte en naissant », c’est-à-dire d’un don inné.
Rien n’est plus certain si nous considérons le caractère général de l’esthétique chinoise et l’époque à laquelle Sie Ho a fixé ses principes. Toute esthétique a deux faces ; d’un côté, elle
reflète les nécessités techniques de l’art auquel elle s’attache, de l’autre, elle est imprégnée des idées philosophiques au milieu desquelles elle a pris naissance...
... Née au milieu de ces idées superstitieuses où se reflétaient encore des conceptions venues des origines mêmes de la civilisation, l’esthétique chinoise s’est cependant constituée au contact
d’idées philosophiques plus nobles et plus pures. On peut dire que le Laoïsme lui a, pour ainsi dire seul, fourni les éléments de son inspiration. C’est à la lueur de sa théorie du monde que nous
devons examiner les Six Principes de Sie Ho, et nous verrons alors comment, au contact d’une pensée supérieure, les superstitions grossières se sont transformées en un système qui n’est pas sans
beauté...
Les pins [sont] comme les hommes parfaits et les lettrés irréprochables. Bien qu’ils aient la grâce du dragon caché au fond de l’eau qui embellit la vallée solitaire, ils possèdent un aspect de sévérité et de dignité inaccessible. Ceux qui peignent les pins doivent conserver cette pensée dans leur cœur. Alors, sous le pinceau, naîtront d’elles-mêmes des choses extrêmement belles.
Commentaire. On remarquera ici qu’un groupe particulier de planches est consacré au pin, comme plus loin au saule. C’est que le
pin et le saule sont des arbres magiques en Extrême-Orient et qu’ils tranchent assez sur les autres essences pour mériter d’être spécialement étudiés.
Il est bien difficile de dire jusqu’où remonte l’origine des idées singulières qui se sont attachées au pin. On se perdrait dans la pénombre des temps primitifs sans aboutir à aucune certitude.
Le pin est un vieil arbre-fée ou génie. Dans la tradition japonaise comme dans la tradition chinoise, l’esprit du pin, lorsqu’il se manifeste, est toujours un vieil homme ou une vieille femme.
D’autre part, le pin qui résiste aux frimas, dont le feuillage reste toujours vert, est devenu dans la philosophie orientale, le symbole de la constance, de l’énergie et de la longévité. Les
vieux pins solitaires des montagnes ont souvent été comparés aux sien-jen ou aux lo-han, solitaires taoïstes ou bouddhistes, immortels à l’apparence de graves vieillards au corps noueux, pareil
au tronc torturé de l’arbre. C’est pourquoi des pins sont comme les hommes parfaits et les lettrés irréprochables. C’est pourquoi on les compare au phénix ou au dragon et c’est pourquoi Lou
tch’ai-che les salue de paroles pleines de majesté. Il faut se pénétrer de ces idées si l’on veut comprendre tout ce qui s’exprime de sentiments complexes et grandioses dans les pins que les
peintres des Song se plaisaient à évoquer parmi des solitudes montagneuses.
Quand on connaît déjà les stries extérieures (mouo-lo) et les veines intérieures (hiue-mouo) des montagnes dominantes, on est expérimenté dans les contours. Alors, par quels traits des différentes écoles faut-il commencer ? Tong Pei-yuan constitue la réunion de toutes les supériorités. Sa méthode de traits est grave ; il faut y travailler le [coup] de pinceau. Quand le [coup] de pinceau est formé, les autres méthodes ne sont plus difficiles. Du reste, quand on étudie la peinture, on doit craindre [d’avoir] la main [abîmée par] de mauvaises études. Il n’y a que cette méthode de traits qui n’abîme pas la main. Est-ce que je me découvre le côté gauche ?
Les différentes formes de jen-wou qui animent les paysages ne doivent pas être trop travaillées ; elles ne doivent pas non plus être trop
sommaires. Il faut absolument qu’elles aient un lien avec le paysage ; l’homme semble regarder la montagne, la montagne semble aussi se pencher pour regarder l’homme ; le joueur de k’in semble
écouter la lune, la lune aussi paraît demeurer calme pour écouter le [son du] k’in. Ainsi on donne aux spectateurs le regret de ne pouvoir se précipiter dans la peinture pour disputer la place
aux personnages.
Dans ce qui suit, je cite les différentes formes d’hommes marchant, debout, assis, couchés, regardant, écoutant, suivant [quelqu’un] ; j’en cite un ou deux [exemples] et j’inscris à côté des
phrases de poésies empruntées à des auteurs de l’époque des T’ang et des Song afin de montrer que, peindre les jen wou dans le paysage, c’est comme mettre en évidence le sujet [dans la
composition littéraire] : le sujet de tout le tableau est déterminé par le personnage. Les peintures des anciens portaient souvent des inscriptions poétiques.
Quand on se promène oisif, les pas mènent facilement au loin.
Quand on se récite [quelque chose] à soi-même dans un endroit solitaire, la voix, d’elle-même, s’élève.
Quand la chaufferette dégage ses effluves sur les mains
[enfoncées] dans les manches, on ne sent pas le froid.
En contemplant la montagne, on trouve des poésies ;
l’une après l’autre, on les écrit sur la paroi.
Quand il y a le dragon sans cornes, on peut pêcher dans le froid
Au moment où le jeune riz est tout à fait vert et où le vin d’abricot est devenu rouge foncé ;
vieux et jeunes, joignant les manches, élèvent les roues de l’échine du dragon.
Leur chant cesse et recommence.
Quand on représente une vue prospère des travaux du printemps, il n’y a rien qui soit mieux que cela.
Commentaire. Les auteurs du Kiai tseu yuan donnent des modèles pour introduire des personnages dans les paysages. Souvent, ces
personnages sont accompagnés d’une citation poétique dont ils sont le commentaire. Rien ne saurait mieux montrer le lien étroit qui rattache en Chine la poésie à la peinture. Celle-ci n’est
souvent qu’un commentaire d’un poème, de même que le personnage n’est souvent ici que le commentaire d’une phrase poétique. Ce n’est pas en vain que les Chinois ont appelé la poésie une peinture
sans formes, la peinture, un poème sans paroles. Souvent, dans les phrases qui accompagnent les figures, on trouvera l’évocation d’un paysage, ou tout au moins, le rappel d’un large sentiment de
nature. C’est qu’il s’agit de figures destinées non pas à rester dans l’isolement qu’une étude analytique leur impose ici, mais à faire partie d’un paysage qu’elles animent et dont elles
soulignent le caractère général.
On verra par la suite que le livre des jen-wou est subdivisé en six sections principales. La première est consacrée aux personnages dans des actions diverses ; la seconde aux personnages
représentés avec la technique du sie-yi qui a déjà été exposée au livre des arbres et qui trouve une application plus caractéristique encore lorsqu’il s’agit de la figure ; la troisième est
consacrée aux quadrupèdes et aux oiseaux. La quatrième aux fabriques et elle comprend des modèles de maisons modestes et de chaumières, aussi bien que des tours à étages et des palais comme le
fameux Kieou-tch’eng-kong ; la cinquième enfin est consacrée aux bateaux de pêcheurs et aux jonques ; la sixième au mobilier. Après les éléments essentiels du paysage étudiés dans le livre des
arbres et le livre des pierres, on étudie donc ici les divers éléments qui peuvent intervenir comme accessoires dans le paysage lui-même.
LIVRE I. Introduction générale.
Exposé élémentaire de l’enseignement de la Peinture par le maître de la maison Ts’ing tsai — Les Six Principes — Les Six Nécessités ; les Six Supériorités — Les Trois Défauts — Les Douze choses
qu’il ne faut pas faire — Les Trois qualités — Division des Ecoles — Considérations sur les qualités — Fondation des Ecoles — Le talent de transformation — Liste des différents traits —
Explication des termes techniques — Usage du Pinceau — Usage de l’Encre — Doubler les couches, dégrader les teintes — Position du ciel et de la terre — Destruction des Erreurs — Eloigner la
Vulgarité — Mettre la Couleur — Le Che-ts’ing — Le Che-liu — Le Tchou-cha — Le Yin-tchou — Le Chan-hou-mouo — Le Hiong-houang — Le Che-houang — Le Jou-kin — Le Fou-fen — Emploi du Yen-tche — Le
Teng-houang — Le Tien-houa — Le Ts’ao-liu — Le Tchö-che — La couleur Tchö-houang — La couleur Lao-hong — La couleur Ts’ang-liu — Mélanger l’encre — La Soie blanche — Méthode pour employer l’alun
— Les Papiers — Pointer la Mousse — La Signature — Préparation des godets — Nettoyage du Blanc — Frotter l’Or — Mettre l’alun sur l’Or — Conclusion.
LIVRE II. Les Arbres.
Méthode de peindre les arbres en commençant par quatre branches — Méthode de peindre deux arbres — Méthode de peindre deux ou trois arbres — Méthode de peindre cinq arbres — Méthode de peindre
Lou-kiao — Méthode de peindre Hiai-tchao — Méthode de peindre les arbres avec les racines apparentes — Méthode de peindre les arbres portant des bourgeons — IMéthode de pointer les feuilles —
Méthode de pointer les feuilles — Méthode de disposer les feuilles — Diverses méthodes de peindre les arbres — Méthode de peindre les arbres de Houang Tseu-kieou — Méthode de peindre les arbres
de Mei-houa-tao-jen — Méthode générale de méler les arbres — Méthode de Ni Yun-lin pour mêler les arbres — Les arbres des Mi — Méthode de peindre les arbres de Ni Yun-lin — Les arbres lointains
de Pei-yuan — Méthode de peindre les pins — Différentes méthodes de peindre les saules — Différentes méthodes de peindre certains arbres — Méthode de pointiller les arbres représentés au moment
de la floraison — Méthode de peindre les jeunes bambous — Méthode de peindre les roseaux.
LIVRE III. Les Pierres.
La Méthode pour ceux qui commencent à peindre les pierres est de les diviser en trois faces — Méthode pour commencer à peindre les pierres et méthode pour les disposer et les réunir — Méthode de
peindre les pierres : Une grande entre les petites, une petite entre les grandes — Méthodes diverses de peindre les pierres — Discussion détaillée de la manière de faire les traits de chaque
école — Méthode pour commencer à peindre les montagnes — Méthode d'établir le tchang et de fixer les traits qui le renferment — Méthode du Maître et de l'Hôte qui s'inclinent l'un devant l'autre
— Méthode de la montagne dominante se constituant à elle-même son propre entourage — Distinction des montagnes par la méthode des trois éloignements — Divers dessins des sommets d'après
différentes écoles — Sommets de Mi Fei — Sommets de Ni Tsan — Exemples de diverses espèces de traits — Méthode pour peindre les plateaux — Exemple d'un sentier au bas d'un talus — Exemple pour
peindre les champs dans les montagnes — Méthode de Houang Tseu-kieou pour peindre les cascades — Méthode pour peindres les vagues des fleuves et de la mer — Méthode pour peindre les courants dans
l'eau calme des k'i et des kien — Les Nuages.
LIVRE IV. Les Jen-wou.
Les Jen-wou (Les hommes et les choses) — Exemples de jen-wou dessinés en sie-yi — Oiseaux et quadrupèdes dans le paysage — Méthode de peindre les maisons enchevêtrées — Ce qu’on appelle les
sourcils et les yeux dans les fabriques — Méthode de peindre les portes — Exemples de petites vues de campagne — Méthode de peindre les ponts — Iéthode de peindre un moulin à eau — Maisons et
tours à étages — Différents exemples pour peindre des maisons et des tours à étages — Les bateaux — Différents exemples de tables, de sièges, d’écrans et de lits.
LIVRE V. Exemples de Peintures de Paysages.
LIVRE VI. La peinture des Iris et des Orchis.
Enseignement élémentaire de la peinture des iris par le maître de la maison Ts’ing-tsai — Histoire de la méthode de peindre les iris et les orchis — Méthode du classement des traits pour peindre
les feuilles — Méthode de peindre les feuilles allant vers la droite ou vers la gauche — Méthode de peindre les feuilles clairsemées ou denses — Méthode de peindre les fleurs — Méthode pour
pointer le cœur de l’iris — Méthode pour employer le pinceau et l’encre — Méthode du chouang-keou — Secret en phrases de quatre caractères pour peindre les iris — Secret en phrases de cinq
caractères pour peindre les iris — Méthode pour tracer les feuilles — Méthode pour tracer les feuilles de droite à gauche — Deux touffes entrecroisées — Exemple pour peindre des feuilles
pendantes — Méthode pour peindre les fleurs — Méthode pour pointer les étamines — Exemples de peintures d’iris.
LIVRE VII. Les Bambous.
Enseignement élémentaire de la peinture de bambous par le maître de la maison Ts’ing-tsai. Histoire de la peinture de bam¬bous — Méthode de peindre les bambous à l’encre — Méthode de composition
— Méthode de peindre les tiges — Méthode de peindre les nœuds — Méthode de peindre les branches — Méthode de peindre les feuilles — Méthode du keou-lo — Secret en phrases rythmées pour peindre
les bambous à l’encre — Secret pour peindre les tiges — Secret pour peindre les nœuds — Secret pour placer les branches — Secret pour peindre les feuilles — Exemples de peintures de
bambous.
LIVRE VIII. La peinture de Prunier.
Enseignement élémentaire de la peinture de prunier par le maître de la maison Ts’ing-tsai. Histoire de la Méthode — Explication générale de la méthode de peindre les pruniers par Tang Pou-tche —
Méthode de T’ang Chou-ya pour peindre le prunier — Guide pour peindre les pruniers par Houa-kouang tchang-lao — Méthode pour établir la structure dans la peinture de prunier — Explication des
symboles de la peinture de prunier — Un calice — Deux corps de fleurs — Trois sépales — Quatre directions — Cinq croissances — Six formations de branches — Sept étamines — Huit entrecroisements —
Neuf transformations — Dix espèces — Secret complet pour peindre le prunier — Secret pour peindre le tronc et les branches du prunier — Secret des quatre honorabilités pour peindre le prunier —
Secret de ce qui est convenable et de ce qui est mauvais pour peindre les pruniers — Secret des trente-six défauts dans la peinture de prunier — Exemples pour peindre le prunier — Exemples de
peintures de pruniers.
LIVRE IX. Les Chrysanthèmes.
Explication élémentaire de la peinture de chrysanthème par le maître de la maison Ts’ing-tsai — Méthode complète pour peindre le chrysanthème — Méthode de peindre les fleurs — Méthode de peindre
les boutons et les calices — Méthode de peindre les feuilles — Méthode de peindre les racines et les tiges — Secret pour peindre le chrysanthème — Secret pour peindre les fleurs — Secret pour
peindre les tiges — Secret pour peindre les feuilles — Secret pour peindre le pied — Secret pour connaître les défauts de la peinture de chrysanthèmes — Exemples pour peindre les fleurs —
Exemples pour peindre les feuilles — Exemples pour disposer les fleurs — Exemples de fleurs, de branche et de feuilles en keou-lo — Exemples de peintures de chrysanthèmes.
LIVRE X. Plantes herbacées et Insectes.
PREMIÈRE PARTIE : Explication élémentaire de la peinture de fleurs, d’herbes et d’insectes par le maître de la maison Ts’ing-tsai. Histoire de la Méthode de peinture. (Fleurs des plantes
herbacées et des plantes ligneuses) — Dissertation sur la différence des caractères de Houang et de Siu — Les quatre Méthodes de peindre les fleurs — Explication générale sur la composition des
peintures de fleurs et sur ce qui convient à leur embellissement — Méthode de peindre les branches — Méthode de peindre les fleurs — Méthode de peindre les feuilles — Méthode de peindre le calice
— Méthode de peindre le cœur — Secret général pour peindre les fleurs.
DEUXIÈME PARTIE : Histoire de la Méthode de peinture. (Les Plantes herbacées et les Insectes) — Méthode pour peindre les insectes des plantes herbacées — Secret pour peindre les insectes des
plantes herbacées — Secret pour peindre les papillons — Secret pour peindre la mante religieuse — Secret pour peindre les cent insectes — Secret pour peindre les poissons — Exemples pour
commencer [à peindre] les diverses fleurs des plantes herbacées — Grandes fleurs aux pétales nombreux et dentelés — Fleurs de lotus à grands pétales pointus ou arrondis — Fleurs de différentes
formes — Exemples pour commencer à peindre les feuilles des plantes herbacées — Feuilles arrondies de diverses espèces — Feuilles dentelées de diverses espèces — Feuilles allongées de diverses
espèces — Feuilles dentelées de diverses espèces — Feuilles arrondies de diverses espèces — Exemples pour commencer [à peindre] les tiges des plantes herbacées et des plantes ligneuses — Exemples
d’herbes qui ornent la base des plantes — Premier exemple d’insectes de plantes herbacées à dessiner pour varier [la peinture des fleurs]. Papillons — Deuxième exemple d’insectes à dessiner pour
varier [la peinture des fleurs]. Guêpes et abeilles, papillons de nuit, cigales — Troisième exemple d’insectes de plantes herbacées à dessiner pour varier [la peinture des fleurs]. Libellules,
grillons, sauterelles — Quatrième exemple d’insectes de plantes herbacées à dessiner pour varier [la peinture des fleurs]. Ma tcha, Lo-wei, K’ien-nieou, Mante — Exemples de peintures de plantes
herbacées et d’insectes.
LIVRE XI. Les Plantes ligneuses et les Oiseaux.
PREMIERE PARTIE : Explication élémentaire sur la Peinture des Fleurs et des Oiseaux par le maître de la maison Ts’ing-tsai. Histoire de la Méthode de Peinture. (Fleurs des plantes ligneuses) —
Méthode de peindre les branches — Méthode de peindre les fleurs — Méthode de peindre les feuilles — Méthode de peindre les calices — Méthode de peindre le cœur et les étamines — Méthode de
peindre l’écorce et le tronc — Secret pour peindre les branches — Secret pour peindre les fleurs — Secret pour peindre les feuilles — Secret pour peindre les étamine et les calices.
DEUXIÈME PARTIE : Les Oiseaux; Histoire de la Méthode de Peinture — Méthode de l’ordre dans l’emploi du pinceau pour les peintures d’oiseaux — Secret pour peindre les oiseaux — Secret complet
pour peindre les oiseaux — Secret pour peindre les oiseaux dormants — Secret pour distinguer deux sortes de becs et de queues, longs et courts, dans la peinture d’oiseaux.
TROISIÈME PARTIE : Différentes méthodes pour mettre les couleurs. — Le Che-ts’ing — Le Che-liu — Le Tchou-cha — Le Yin-tchou — Le Ni-kin — Le Hiong-houang — Le Fou-fen — Le Yen-tche — Le Yen-mei
— Le Tien-houa — Le T’eng-houang — Le Tchö-che — Mêler les différentes couleurs — Emploi de l’encre — Mettre l’alun sur la soie — Mettre l’alun sur les couleurs.
QUATRIÈME PARTIE : Exemples pour commencer à peindre les fleurs de plantes ligneuses. — Exemples pour commencer à peindre les feuilles des plantes ligneuses — Exemples pour commencer à peindre
les tiges des plantes ligneuses — Méthode pour commencer à peindre les oiseaux — Exemples de peintures de plantes ligneuses et d’oiseau
Index des noms de peintres et des personnages historiques ou légendaires cités dans le texte ou dans les Commentaires.
en trois fichiers
- Introduction — Les Arbres — Les Pierres.
- Les Jen-wou — Les Paysages — Les Iris et les Orchis — Les Bambous.
- Les Pruniers — Les Chrysanthèmes — Les Plantes herbacées et les Insectes — Les Plantes ligneuses et les Oiseaux. — Index.
Format doc
Format pdf
Voir par ailleurs sur le site, deux autres travaux de Raphaël Petrucci : La philosophie de la nature dans l'art d'extrême Orient, et Les peintres chinois.